Divergente raconté par Quatre – Veronica Roth

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L’histoire de Quatre avant sa rencontre avec Tris. Lors de sa cérémonie du choix, un jeune altruiste se dresse contre sa famille et sa faction : il rejoint les audacieux. Il choisit un nouveau destin, et devient Quatre. Mais ce qu’il découvre alors met en péril son avenir, et celui de la société tout entière. Va-t-il devoir se dresser contre sa nouvelle faction? Lire la suite

Divergence, tome 3 : Allégeance, Veronica Roth

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Editions Nathan
Publié en 2014
460 pages
16,50€

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RESUME

Tris et ses alliés ont réussi à renverser les Érudits. Les sans-faction mettent alors en place une dictature, imposant à tous la disparition des factions. Plutôt que de se plier à ce nouveau pouvoir totalitaire, Tris, Tobias et leurs amis choisissent de s’échapper. Le monde qu’ils découvrent au-delà de la Clôture ne correspond en rien à ce qu’on leur a dit. Ils apprennent ainsi que leur ville, Chicago, fait partie d’une expérience censée sauver l’humanité contre sa propre dégénérescence. Mais l’humanité peut-elle être sauvée contre elle-même ?

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Tout d’abord, j’aurais beaucoup aimé lire ce livre plus tôt mais je voulais vraiment attendre de l’acheter dans sa nouvelle édition, c’est à dire avec la couverture du film et non pas avec les anciennes immondes couvertures. J’avais vraiment très hâte de mettre un point finale à cette histoire qui m’avait tellement transporté. Mais je dois avouer que j’ai mis beaucoup de temps à le lire, que j’ai décroché pas mal de fois durant mes lectures. Mais je pense que c’est parce que je n’étais pas assez concentré.

J’ai eu aussi du mal avec le changement de point de vue qu’a instauré l’auteure dans ce tome-ci. En effet, elle y rajoute les pensées de Tobias mais c’est pratique car quand il n’est pas avec Tris, on peut le suivre de son côté. Ça nous permet d’être dans sa tête et de comprendre ce qu’il pense, et pourquoi il fait ce qu’il fait. Je trouve aussi qu’il y a beaucoup d’information à assimiler dans ce tome, on se perd un peu quelques fois. J’ai repéré une similitude avec Hunger Games quand Tris rend visite à des pauvres dans la rue. Ça m’a fait penser à Katniss. Mais ce n’est pas un reproche, parce que ce que Tris a vu, ça a servi à quelque chose.

Ensuite, ce livre manque cruellement de romance, en tout cas au début. Le tome précédent aussi en manquait et je pensais que ça allait s’arranger ici mais j’ai eu tord. La romance n’est clairement pas le centre du livre, le plus important. Il y a une tension entre Tris et Tobias et du coup, ils se retrouvent très peu de fois. Mais je dois avouer que j’ai eu ma dose d’émotions dans les 150 dernières pages. C’est un couple qui fait face à tout ensemble. 

Quatre reste mon personnage préféré, j’adore ce garçon. Il a l’air détruit, il a l’air prêt à tout pour sauver Tris, pour défendre ce qu’il croit bon. Il est super touchant et je l’ai beaucoup aimé dans ce tome, notamment grâce au fait qu’on puisse entrer dans sa tête. Bien sûr, j’aime aussi beaucoup Tris, elle reste l’héroïne du livre, notamment par la fin. C’est elle qui marque ce livre, et elle est admirable.

Malgré ce qui se passe à la fin, j’ai quand même trouvé que la fin était assez heureuse. Ce que je veux dire, c’est que on perçoit le bonheur, il n’est pas loin, et on a un avant-goût de la vie que vont mener les personnages. J’ai vraiment été choquée par cette fin, par l’événement important qu’on y retrouve. Pour moi, ce n’était pas possible, j’y croyais pas une seconde, mais j’ai du ouvrir les yeux et comprendre que c’était vraiment ce qu’il s’était passé. Bien évidement, j’ai versé ma petite larme, parce que c’était triste et beau à la fois, ce geste d’altruisme. 

bref

En lisant cette trilogie, je ne m’attendais pas du tout à cette fin, à ce monde et à ces personnages. Je ne m’attendais à rien en fait et j’aime me faire surprendre par un livre, même si la surprise n’est pas des plus heureuses. Une merveilleuse trilogie. 

8,5 / 10

Divergente, tome 2 : l’Insurrection, Véronica Roth

KODAK Digital Still Camera

Editions Nathan
Publié en 2012
460 pages

16,90€

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Résumé

Le monde de Tris a volé en éclats. La guerre a dressé entre elles les factions qui régissent la société, elle a tué ses parents et fait de ses amis des tueurs. Tris est rongée par le chagrin et la culpabilité. Mais elle est Divergente. Plus que tout autre, elle doit choisir son camp et se battre pour sauver ce qui peut encore l’être…

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Ce que j’en ai pensé

Bien évidement, j’ai beaucoup aimé ce livre, et ça a été une très belle suite du 1er tome. Une suite avec une multitude d’action. On retrouve Tris, dont le début du livre est directement la suite du 1er, qui fuit le centre de la ville pour aller vers le refuge des Fraternels. Bien évidement, elle est accompagné de Tobias, et Caleb, Marcus et Peter.
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J’ai bien aimé le moment où ils étaient chez les fraternels, je l’ai trouvé assez serein, comparé à tout les autres moments dans le livre. Par contre, je trouve que Tobias est beaucoup plus absent, et que leur relation n’existe presque pas, c’est rare de les voir ensembles, amoureux. Mais par ailleurs, cela montre bien que c’est une relation qui est forte, même s’ils ne le se montrent pas toujours. Surtout quand Tris a envie de se jeter sur Tobias mais que sa fierté prend le dessus.
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Sinon, j’ai trouvé ce livre complètement dingue. Il n’y a pas un moment de repos. On se fait souvent surprendre (à par pour le moment où Peter sauve Tris, ça, je le sentais depuis le début du livre qu’il ne pouvait pas rester un petit con jusqu’au bout). Je n’ai pas aimé le personnage d’Evelyne et ça s’est affirmé à la toute fin du livre. D’ailleurs, je trouve que dans cette fin, il se passe trop de truc d’un coup, et qu’on se perd un peu, on est obligée de reprendre les quelques phrases précédents pour comprendre mieux la suite (enfin je dis « on », mais quand je dis « on », je dis « je). Donc voilà la raison pour laquelle je n’ai pas mis 10.
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Dans ce tome, on se rend compte que Tris a vraiment évoluée depuis le premier, elle a du affronter des scènes qui l’ont fait grandir et penser d’une autre façon, mais elle reste quand même la même. Elle a juste mûri et compris qu’elle doit jouer son rôle, que c’est une Divergente et qu’elle a plus de facultés que les autres. J’ai bien aimé aussi le moment où les Audacieux se sont regroupés chez les sincères, surtout les moments dans les dortoirs. On trouve une Tris plus jeune à ce moment-là.
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Mais globalement, c’est un livre qui nous demande de s’accrocher puisque qu’on ne se repose jamais. Pour ma part, j’ai lu les deux tomes d’affiler, mais je pense que j’aurais du attendre un peu, et pas lire le deuxième direct, parce que trop de Divergente tue le Divergent. Non mais de toute façon je devais le lire avant le film, je voulais pas faire comme le premier (c’est le film qui m’a fait découvrir le livre).
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Maintenant je voudrais parler de Caleb, un paragraphe rien que pour lui, même s’il ne le mérite pas. Ce traître. Jamais je n’aurais pu penser ça, et j’ai été tellement surprise quand je l’ai appris. Je n’y croyais pas, puisque toutes ses actions précédentes me démontrait le contraire. Mais malheureusement, ce petit con a choisi son clan, le clan des mauvais. Mais bon, comme à la fin Jeanine est tuée, les Érudits sont un peu mal et lui aussi.
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Par contre, la toute fin m’a aussi beaucoup surprise! que de surprises dans ce tome! Et d’ailleurs, j’ai beaucoup aimé, même si ça m’a fait un peu penser à la fin du film Le Labyrinthe, si vous voyez ce que je veux dire. J’ai hâte de lire le prochain tome pour savoir ce qui va se passer, parce que dans ma tête je m’imagine tout un tas de choses! Mais j’attendrais un moment avant de le lire. J’attendrais aussi le moment où ce tome 3 sera édité avec la couverture du film, je trouve les couvertures françaises originales horribles, désolée.

9 / 10

Divergente,Veronica Roth

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Editions Nathan
Publié en 2011
430 pages
16,90€


4ème de couverture :

Dans le Chicago dystopique de Béatrice, la société est divisée en cinq factions, chacune dédiée à la culture d’une vertu : les Sincères, les Altruistes, les Audacieux, les Fraternels, et les Erudits. Sur un jour désigné de chaque année, tous les adolescents âgés de seize ans doivent choisir la faction à laquelle ils consacreront le reste de leur vie. Pour Béatrice, la décision est entre rester avec sa famille et être qui elle est, les deux sont incompatibles. Alors, elle fait un choix qui surprend tout le monde, y compris elle-même.
Mais Tris a aussi un secret, celui qu’elle a caché à tout le monde parce qu’elle a été averti qu’il peut signifier la mort. Et comme elle découvre un conflit croissant qui menace de percer cette société en apparence parfaite, elle apprend aussi que son secret pourrait l’aider à sauver ceux qu’elle aime. . . ou pourrait la détruire.


Ce que j’en ai pensé

Je ne vais pas vous le cacher, ce livre est un pur coup de coeur livresque. Je n’arrête pas d’y penser et j’ai du mal à lui trouver de défaut, d’ailleurs je n’en ai pas à vous présenter, cet article sera purement positif. Alors oui, je viens de découvrir le livre, je suis un peu en retard sur cette saga/trilogie. J’ai déjà vu le film avant, donc je connaissais l’histoire.
J’ai totalement adhéré au personnage de Tris, c’est une jeune femme très courageuse, un peu trop des fois, mais il le faut bien. Au début du livre, on la prend pour une fille incapable, faible et naïve mais au fur et à mesure des pages, elle évolue et on se rend compte qu’elle est forte et on ne peut que l’aimer.
J’ai beaucoup aimé le fait de diviser la population en faction, mais je me pose quand même beaucoup de questions comme « comment ils en sont arrivés là » et tout ce qui concerne le reste du monde. Mais le fait est qu’il faut se concentrer dans ce Chicago (USA) et oublier tout le reste. Il faut penser que le peuple est enfermé à l’intérieur de la ville, pour sa protection.
Il y a quand même un point sur lequel j’aimerais être éclairé : pourquoi n’y a t-il que peu de Divergent ? Pourquoi la plupart des gens ne peuvent pas être gentil, sincère, intelligent, courageux… C’est des qualités qu’une personne peut avoir sans problème, sans que ce soit rare. Mais bon, je trouve quand même que c’est une très bonne invention et je suis épatée devant tant d’imagination. Je suis définitivement une adepte de ce genre de livre et de dénonciation à travers une oeuvre.
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Il faut aussi penser à interpréter ce que Veronica à chercher à dénoncer (comme Suzanne Collins dans Hunger Games). La situation dans laquelle ils se trouvent au début du livre, c’est à cause de la guerre. Surement que les hommes n’ont pas été d’accord pour la gouvernance du monde, des religions et il a fallut tout recommencer. Sauf que l’homme est de nature belliqueuse, il aime faire la guerre. On ne peut pas rester dans le contrôle indéfiniment.
C’est pour ça que j’aime découvrir la vision de personnes à travers des livres, savoir comment ils penseront notre futur proche, si les humains ne réagissent pas avant. Il y a beaucoup trop de tension entre nous. Bref, je ne vais pas me lancer dans ce genre d’argumentation. J’ai juste adoré le monde présenté dans ce livre, et les personnages.
Tobias est un homme tellement fort et tellement craquant… Je fonds à chaque fois. Il peut être froid comme aimant, et c’est juste une personne formidable. J’aimerais trouver un Tobias en sortant de chez moi tout à l’heure. J’aime sa mentalité, sa façon d’agir et de penser. Il est casi-parfait (oui casi, parce que personne n’est parfait et je soutiens cette idée).
Pour conclure, ce livre a été une incroyable découverte, j’attendais beaucoup en lisant ce livre et je n’ai pas été déçu. Une très bonne surprise. A lire absolument.

10 / 10

Nos Etoiles contraires, John Green

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Editions Nathan
Publié en 2012
310 pages
13,95€


Résumé

Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu’elle s’y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d’autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l’attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.


Ce que j’en ai pensé

Sérieusement, pourquoi est-ce que j’ai mis autant d’année avant de lire ce livre ? Oui je fais partie des personnes qui l’ont aimé et non je ne dirais aucun mal de ce livre pour la bonne raison que je l’ai beaucoup aimé. Je n’ai mis que 8 parce que j’ai pas eu le coup de coeur que j’espérais mais peut être que c’est à cause du fait que je l’ai lu en anglais et que j’ai pas saisis tout les petits détails.


Donc c’est l’histoire de Hazel qui a un cancer des poumons. Un jour, elle rencontre Gus à la réunion du groupe de soutien et ils vont devenir inséparable. J’ai beaucoup aimé ces deux personnages, et un peu plus Gus. J’aime vraiment son comportement, les phrases qu’il sort… Mais le truc c’est qu’il me manque un truc.
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Je ne vais pas épiloguer longtemps sur ce livre. Mais mon moment préféré c’est quand ils sont partis à Amsterdam. Ensuite, le moment qu’il m’a le plus touché ce n’est pas quand Gus meurt mais la fin du livre où Hazel a une discussion sur la vie avec ses parents. Sa mère lui apprend qu’elle prend des cours sur internet depuis un an et que petit à petit elle va retrouver une vie de femme active. Et c’est ce que Hazel craint le plus, qu’une fois qu’elle sera, ses parents se sépareront et se retrouveront dépressifs sans but dans la vie.
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Globalement, j’ai aimé ce livre même si j’ai mis longtemps à le lire (c’est surement parce que c’est en anglais).

8 / 10